Nous avons découvert un post sur internet dont la thématique est «l’automobile».
Le titre (USPGA 2023 : Cole en tête, Perez en verve) synthétise tout l’éditorial.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est positivement connu.
L’encart a été divulgué à une date notée 2023-05-18 21:58:00.
Voici lle « papier » en question :
La corne de brume a retenti à 20h30 heure locale (2h30 en France), à Rochester, dans l’état de New-York, signifiant l’arrêt des parties. Les derniers joueurs sur le parcours avaient alors enfilé la petite laine puisque la fraîcheur du matin, le gel ayant même retardé les parties de près de deux heures, commençait à reprendre ses droits. Certains clubs étaient pourtant bien chauds sur un parcours d’une difficulté redoutable (roughs d’une densité absolue, fairways rétrécis, greens surélevés), qui n’a plus rien à voir avec celui de 2013 qui avait déjà accueilli ce Majeur.
Les clubs de Victor Perez faisaient alors partie des plus bouillants. Parti du 10, le Français réalisait un premier tour extrêmement propre et solide (-1, aucun bogey) quand il a été stoppé au 7 (le 16 pour lui). De quoi le positionner dans le Top 10, à quatre coups seulement du leader. Une performance majuscule à confirmer évidemment dès vendredi matin à l’aube pour la fin de son tour initial.
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Comme le nombre de joueurs sous le par jeudi soir sur un champ de 156.
Le leadership venait d’être pris par Eric Cole, lui aussi parti du 10 et qui n’a pu finir que 14 trous (-5). L’Américain n’a encore jamais gagné sur le circuit PGA mais était passé près en play-off du Honda Classic, face à Chris Kirk, en février dernier. Il devance un trio composé d’Adam Scott, Dustin Johnson (stoppés au 18) et Bryson DeChambeau (-4).
Tout nouveau, tout DeChambeau
Ce dernier est apparu tout nouveau, tout beau et pas seulement parce qu’il a migré sur le LIV. Amaigri, l’Américain a mis un peu de douceur et de stratégie dans son jeu (si, si !). Une approche moins « frappeur fou » traquant les records de yards qui lui a permis de briller lors de ce premier tour (6 birdies, 2 bogeys) alors qu’il s’était fracassé contre le cut au Masters : « J’ai fait le job ! Sur le plan physique, j’ai réduit mes calories par jour. J’ai arrêté de manger n’importe quoi. J’ai aussi fait des analyses et vu que j’étais allergique au maïs, au blé, au gluten, aux produits laitiers, j’ai tout arrêté. J’ai gagné en énergie sans perdre en vitesse et c’est qui permet d’être long au drive. J’ai douté, j’ai même eu des doutes sévères, mais je ne me suis jamais dit que c’était la fin pour moi. Et je suis content de retrouver mon niveau ».
Scottie Scheffler n’a jamais perdu le sien. Parti lui aussi du 10, il n’a pas commis le moindre bogey. C’est la première fois que cela lui arrive en Grand Chelem. Ses trois birdies (14, 5, 10 dans l’ordre des trous abordés) ont magistralement saupoudré sa journée alors qu’il n’avait pas passé le cut, l’an dernier à Tulsa (Oklahoma) : « Aujourd’hui, on a sans doute eu les meilleures conditions qu’on aura cette semaine, à savoir sans trop de vent, et il fallait en profiter. C’est un parcours très dur, où il n’y a pas beaucoup d’occasions de birdies, où les fairways sont très étroits, comme au 9. L’idée est plutôt de limiter les erreurs. J’ai bien drivé sur les coups importants, j’ai réussi quelques jolis coups de sauvetage aussi. » Corey Conners s’est positionné à sa hauteur (-3).
Les cadors dans le dur
Considéré comme le moins prestigieux des Majeurs, alors qu’il accueille toujours le meilleur champ de joueurs, l’USPGA est pour l’heure détenu par Justin Thomas, qui a réussi ce jeudi une entame aussi timide que Brooks Koepka (+2). Rory McIlroy a fait légèrement mieux (+1) : « Je n’étais juste pas à mon meilleur et j’ai mal drivé. J’ai juste touché deux fairways à l’aller, j’ai donc essayé de faire des pars mais ça n’a pas suffi. Il y a toutefois quelques lueurs d’espoir sur les derniers trous. »
L’espoir a longtemps paru très lointain à Tony Finau (+6 à l’aller) et Xander Schauffele (+4 sur les trois premiers trous) mais des rétablissements sont en cours. Si Tom Kim Tom s’est enfoncé dans la boue au 6, à tel point qu’il fut obligé d’aller se rincer dans le ruisseau et de se changer avant de reprendre les clubs, Jon Rahm a pris l’eau au figuré (+6). Le vainqueur du premier Majeur de l’année (Masters d’Augusta) aura du mal à bisser dimanche. Pour l’heure, il est même au-dessus du cut provisoire sur un parcours qu’il foule pour la première fois : « J’ai bien joué sur les sept premiers trous en trouvant les bonnes zones. Ensuite, je me suis vraiment battu contre le parcours et à chaque fois que je n’ai pas trouvé le fairway, ça m’a coûté cher ». Il a toutefois fini par un birdie et un par. De quoi amorcer le rebond et entretenir l’espoir.
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