Ferrari s’est retrouvée derrière Red Bull dans les virages « très lents » de Miami, alors la recherche de réponses est en cours.

Au cours des premiers tours de la campagne 2022, Red Bull a bénéficié d’un avantage sur Ferrari en termes de performances en ligne droite, Ferrari ayant choisi une approche à appui plus élevé pour performer dans les virages à vitesse moyenne et lente.

La piste de Miami a ensuite donné aux équipes une catégorie de virage « très lent » autour de la chicane critiquée du virage 14/15.

Cependant, Ferrari a constaté que Max Verstappen de Red Bull excellait réellement dans cette chicane et à la sortie, mais Red Bull n’avait pas sacrifié son avantage de vitesse en ligne droite.

Ainsi, le directeur de Ferrari, Mattia Binotto, a déclaré que son équipe enquêtait maintenant sur les raisons pour lesquelles c’était le cas.

« Nous utilisons un peu plus d’appui en termes de configurations d’ailes: nous manquons de vitesse dans les lignes droites mais gagnons normalement un peu plus dans les virages », a déclaré Binotto, cité par Motorsport.com .

“Je pense [in Miami] cela a été le cas [of being faster] dans les virages 5/6/7, mais peut – être que cela n’a pas été le cas dans les virages très lents-après 11/12/13.

« Je pense que Red Bull a été très bon à cet égard. Ils sont très bons sur les pneus moyens, pour être aussi rapides que nous au moins dans les virages à très faible vitesse. Et la raison pour laquelle, c’est quelque chose que nous devons évaluer et comprendre.”

Au sujet de ces pneus moyens, Leclerc a exhorté Ferrari après la course à enquêter sur les raisons pour lesquelles ils ont du mal à préserver les composés plus tendres par rapport à Red Bull en finition de course.

Leclerc a décroché la pole position pour le premier Grand Prix de Miami, conservant la tête au départ, mais a rapidement commencé à souffrir de grainage sur son pneu moyen avant droit, permettant à Verstappen de se rapprocher et de dépasser au 9e tour, le Néerlandais remportant finalement la victoire.

Ce n’est pas la première fois que Ferrari rencontre de tels problèmes, une situation similaire se produisant à Imola lors des qualifications au sprint.

« Surtout sur les composés plus tendres, sur les moyeux et les tendres, il semble que cela fait déjà deux courses qu’en termes de rythme de course, ils semblent être un peu plus forts et mieux gérer ces pneus », a déclaré Leclerc aux journalistes à Miami.

« En qualifications, nous avons toujours réussi à placer ces pneus dans la bonne fenêtre, ce qui nous aide. Mais sur les longues distances, nous avons un peu plus de mal par rapport à eux.”